Auteur/autrice : Yannick Bouzerma

Qui peut pratiquer l’Aïki-taïso ?

La pratique de l’Aïki-taïso développe la souplesse, la respiration et des exercices portés sur soi, plutôt que de la force, il est possible de pratiquer à tout âge, du plus jeune à pas de limite haute, chacun pratiquant en fonction de soi. Hommes comme femmes.

Avec de la régularité, on acquiers une meilleure coordination, un équilibre plus sûr, une respiration bien plus efficace et une meilleure durabilité et capacité de concentration. Ce n’est pas une course de force ou d’être le meilleur, mais une pratique sur soi, son centre, ses sens et ses perceptions.
Il n’y a pas d’âge pour apprendre et progresser. Donc, comme pour Tintin, de 7 à 77 ans et plus.

En Aïki-taïso, il est encore plus évident d’être dans un milieu non violent, en partageant avec les autres sensations et exercices sans concours.
Cet équilibre physique, l’ancrage au sol, la respiration aident et renforcent physiquement dans un cadre de sport santé.

Pour toutes et tous, donc.

Le stage du Temple sur Lot a enfin été fait, reprise avec motivation et sérieux, et un peu de fraîcheur dans les eaux du Lot.
Voici ci-dessous un lot de photos pour avoir un peu la vision du stage et un peu de souvenirs pour les pratiquants !

L’aïkido par groupes, les « petits »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et les groupes ados

 

 

 

 

 

 

 

Un peu de kayak entre temps…

 

 

 

 

 

Et beaucoup de paddle…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Retour sur les tatamis tous ensemble

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et enfin, quelques photos de groupe…

 

 

 

 

 

Avant le repos des guerriers en rentrant !

Un peu de vision des cours enfants, depuis la petite salle où nous avons commencé…

Dans une bonne ambiance, les cours se déroulent donc avec des questions, des réponses, des histoires de samouraïs pour expliquer telle ou telle technique.

Les règles de fonctionnement des budokas* sont ainsi plus faciles à comprendre et à suivre.

En plus d’avoir appris à utiliser le tanto*, le Jo*, le bokken* un peu, ils ont en plus appris à utiliser un balai.

Chacun apprend aussi à faire attention aux autres dans la pratique. A respecter les consignes.

Les règles d’hygiène et de sécurité sont au centre de l’attention, mais s’ajoutent le salut, le changement de rôle entre tori* (qui fait la technique) et aïte* (qui suit la technique). Et tout ça donne plus d’aisance dans les mouvements.

Voilà maintenant lancée la pratique, les enfants motivés, studieux, sérieux (sur les photos) montrent qu’ils ont appris leur vocabulaire, les chutes, des techniques, au point que plus rien ne leur fait peur !

Nous voyons des pratiquants jeunes, souriants, qui se tiennent bien.

Ah… Que sur cette photo ?

 

Note : * Les termes japonais utilisés sont aussi expliqués dans la page glossaire du site ! Alors, on est pas trop fainéant, et on vérifie !

Le guide du débutant à évolué à travers les années, en voilà deux versions complémentaires.
Bonne lecture.

• AIKIDO MANUEL du PRATIQUANT 2013
• AIKIDO MANUEL du PRATIQUANT 2022

OUI !

L’Aïkido Seyssois a fêté ses 10 bougies de pratique et d’usure de tatamis (encore que).
Le club organisait samedi 18 et dimanche 19 un stage avec un gradé venu de Paris, et pour l’occasion, l’invité qui a fait le stage durant tout le week end, c’était Antoine Soarès.

Et, au-delà du fait que les initiales sont les mêmes, la rencontre fut explosive et intense ! Dans le style d’Antoine, 6è dan et CEN de la FFAB.
Sa fulgurance et son relâchement toujours impressionnants, il a couvert, du cours avec les enfants le samedi matin jusqu’à celui de dimanche après-midi, une grande part du répertoire :
Suwari waza, hanmi handachi waza, tachi waza, usuiro waza, buki waza.
A peu près avec toutes les saisies et frappes possibles, tanto, bokken et jo compris.
 
Une quarantaine de pratiquants, avec les enfants, se sont déplacés pour l’occasion, du Tarn, du Gers, mais aussi depuis les Bouches-du-Rhône pour suivre son enseignement.
L’ouverture de samedi avec les enfants, les as trouvés surpris et impressionnés. Mais ils se sont lancés dans l’étude proposée motivés et attentifs.

Des explications courtes, mais éclairantes, le tout dans une ambiance détendue et studieuse à le fois.
Un tiers de féminines dans les pratiquants présents, ce qui prouve que l’aïkido, art martial qui ne demande pas de force, est tout aussi accessible au dames qu’aux hommes.
Tout le monde est reparti souriant avec beaucoup de choses à retravailler dans les clubs et dans la suite de leur pratique, bien nourris de cette expérience.

Et nous n’avons pas oublié les photos de groupe des matins de samedi et dimanche.

Merci encore Antoine pour ces deux jours de tatamis bien remplis.

 

De nouveau sur les tatamis avec nos collègues de Cornebarrieu, nous étions nombreux et réchauffés pour ce dimanche ensoleillé.
Une première partie assurée par Yannick, professeur de Seysses, axée sur le contrôle de aïte lors des déplacements et techniques. Ce qui a poussé ensuite vers les kaeshi waza.

Partie poursuivie par Patrick, professeur de Cornebarrieu, qui a utilisé les points vus précédents en développant la pratique au bokken.

Des immobilisations travaillées en détails avant « d’attaquer » les projections, les gestes se sont affinés.
De 13 à 68 ans, tout le monde a échangé dans le sérieux et la bonne humeur. Bonne humeur alimentée par le fait de savoir que le repas partagé ensuite attendait sagement que l’on ait faim et soif !

Mais pas avant d’avoir fait la traditionnelle photo de groupe !
Et tout le monde se retrouvera la saison prochaine à Seysses pour le match retour.

Note : Cet article comporte des mots bizarres ? Et bien, il faut aller les vérifier dans le dictionnaire franco-japonais !
Là ! http://aikido-seysses.fr/glossaire/